Sensorium

Le Sensorium est basé sur les idées de Hugo Kükelhaus. C’est un champ d’expérience des sens – analogique, stimulant, différent.

Sans une équipe motivée, la collaboration de bénévoles et de nombreux partenariats précieux, le fonctionnement du Sensorium ne serait pas possible.

Notre histoire

Qui était Hugo Kükelhaus ?

Hugo Kükelhaus était un penseur universel qui a attiré l’attention sur des problèmes centraux de notre époque, mais qui a également indiqué des moyens de les surmonter. Il voyait l’homme de la civilisation moderne et technique s’appauvrir et perdre l’équilibre par rapport à ses forces physiques et psychiques. Il a identifié les causes de cette situation comme étant un système de valeurs qui met unilatéralement l’intellect au premier plan de l’ensemble des capacités humaines, ainsi qu’une technique et un aménagement de l’environnement qui visent à soulager le corps et les sens plutôt qu’à les mettre à l’épreuve.

Un environnement toujours plus monotone, qui ne laisse rien à « faire » aux sens et qui laisse de moins en moins de place (de jeu) aux possibilités d’expérience et de développement corporelles fondamentales – Kükelhaus parle même de « privation de vie » – correspondait à ses yeux à une sur-stimulation artificielle qui, en sollicitant trop certains sens comme la vue et l’ouïe, contribuait à la dégradation supplémentaire d’une capacité de perception différenciée. Inlassablement, il a montré les conséquences désastreuses que cela entraînait sur le comportement humain dans toutes ses relations – avec soi-même, avec les autres, avec la nature et la technique.

Dès la fin des années 30, il souligna l’importance des expériences sensorielles variées – dès la naissance – en développant les jouets « Allbedeut », des jouets en bois destinés à stimuler les sens dans les premières années de la vie. Kükelhaus a conçu ces jouets sous l’influence de la pédagogie Fröbel et d’une psychologie du développement qui gagnait en importance. Sous le nom de « Greiflinge », ils ont reçu plus tard de nombreuses distinctions et Kükelhaus est devenu grâce à eux le précurseur des jouets de préhension actuels pour les tout-petits.

 

Bibliographie

À propos de Hugo Kükelhaus

Société Hugo Kükelhaus (éd.) : Hugo Kükelhaus. Soest 1994

Barth, Anne (éd.) : Hugo Kükelhaus (1900 – 1984). Erlangen 1997

Niethammer, Arnolf : Idées directrices dans l’œuvre de Hugo Kükelhaus. Pädagogische Rundschau Jg. 54 (2000), Peut-être tirage spécial ?

Schenk, Matthias : Sur les traces de Hugo Kükelhaus (1900 – 1984). Plus de 70 étapes de la vie de Hugo Kükelhaus à travers l’Allemagne, l’Autriche, la Suisse, les Pays-Bas et la France. Carte avec explications. Wiesbaden 2000, maison d’édition Schloß Freudenberg.


En outre, vous pouvez obtenir les écrits suivants, également disponibles en librairie :

Schärli, Otto : Rencontres avec Hugo Kükelhaus. Stuttgart, Berlin 2001, éditions Mayer.

Schenkel, Elmar : Le sens et les sens – Trois essais sur Hugo Kükelhaus. Stuttgart, 3e éd. 1996. éditions Flugasche, 70 p.


Publications de la Société Hugo Kükelhaus e.V :

Hugo Kükelhaus (1900 – 1984). Bibliographie de l’auteur. Élaborée par U. Joeressen, J. Münch, F. Peck. Soest 1990. 2e édition complétée et révisée en 1996.

Münch, Jürgen : Hugo Kükelhaus et le jouet Allbedeut. Bielefeld, Soest 1995

Münch, Jürgen (éd.) : Hugo Kükelhaus dans l’architecture – Construire pour les sens. Soest 1998

Volontariat

Bénévolat au Sensorium

Bénévole au Sensorium – pourquoi pas vous ?

Vous appréciez l’approche interactive du Sensorium et le contact avec les visiteurs ? Rejoignez notre équipe et laissez-vous séduire par cet environnement chaleureux !

Nous vous offrons les possibilités suivantes

Participation à l’encadrement des quelque 70 stations à l’intérieur du musée.
Aide à la caisse et à la boutique du musée.
Accompagner les visiteurs lors des visites guidées et des ateliers.
Collaboration à des projets et des expositions thématiques.

Souhaitez-vous un entretien

Nous offrons une équipe formidable, une ambiance de travail agréable, une introduction approfondie, des possibilités de formation continue, une indemnisation des frais, un repas de midi gratuit et, une fois par an, une super excursion.

Manuela Schaub

Chef d'équipe du service des visiteurs
031 700 85 85

L'équipe

Collaborateurs, stagiaires et bénévoles forment l’équipe du Sensorium, qui s’efforce chaque jour de développer ce musée interactif et de créer une atmosphère conviviale et innovante.

Rejoignez-nous et vivez votre aventure personnelle dans notre champ d’expérience des sens !

Alice Baumann
Directrice

alice.baumann@ruettihubelbad.ch

Manuela Schaub
Chef d’équipe du service des visiteurs

manuela.schaub@ruettihubelbad.ch

Cecilia Viger
Responsable d’équipe médiation culturelle

cecilia.viger@ruettihubelbad.ch

Beatrice Billy
Collaboratrice service des visiteurs

beatrice.billy@ruettihubelbad.ch

Andreas Seiler
Médiateur culturel

Barbara Stalder
Médiatrice culturelle

Marius Guirard
Médiateur culturel

Sandra Jamet
Médiatrice culturelle

Christine Schulz
Médiatrice culturelle

Rée Sprenger
Stagiaire

Jasmine Mattmüller
Stagiaire

Christian Derksen
Technicien opérateur

christian.derksen@ruettihubelbad.ch

Thomas Burri
Technicien exposition

thomas.burri@ruettihubelbad.ch

Collaborateurs bénévoles

Marlis Zaugg

Lisbeth Käser

Sylvie Halter

Collaborateurs bénévoles

Roland Käser

Ruedi Brönimann

Lorenz Riesen

Peter Stauffer

Willi Frommherz

Heinz Nydegger

Contactez-nous

En remplissant entièrement le formulaire, vous nous facilitez la planification. Nous pourrons ainsi contribuer à faire de votre visite au Sensorium une expérience inoubliable !

 

Vous avez besoin de plus d’informations ? N’hésitez pas à nous appeler, nous nous ferons un plaisir de vous conseiller.

 

*“ zeigt erforderliche Felder an

Appel*
Nom / Prénom*
Adresse*
 
Mardi à Vendredi

10h00 – 12h00 

13h30 – 17h00

Sensorium

Di – Fr: 9.00 – 17.00 Uhr
Sa / So: 10.00 – 17.00 Uhr
Montag Ruhetag

1. November – 31. März

Mi – So: 10.00 – 17.00 Uhr
Montag und Dienstag Ruhetag


Öffnungszeiten Sekretariat

Di – Fr:
09.00 – 12.00 Uhr
13.30 – 17.00 Uhr

Samstag – Montag geschlossen

Sekretariat Sensorium

Telefon 031 700 85 85
E-Mail schreiben

Restaurant & Lade-Kafi

Restaurant

Mittwoch/Donnerstag: 
8:00 – 21:00 Uhr

Freitag/Samstag: 8:00 – 22:00 Uhr

Sonntag: 8:00 – 18:00 Uhr

Montag und Dienstag: Ruhetag

Lade-Kafi

Selbstbedienungsrestaurant
11:00 – 17:00 Uhr

Samstag Ruhetag
(ausser Samstag, 28.12.24: offen von 11:00 – 17:00 Uhr)

Empfang Réception

Schalteröffnungszeiten

Montag – Freitag Samstag 
08:30 – 11:00 Uhr  14:00 – 16:30 Uhr08:00 Uhr – 11:30 Uhr

Telefonische Kontaktaufnahme:
031 700 81 81

 

Leichte Sprache
Text

Ab 2011: Vornahme von Grossinvestitionen

Die Bausubstanz wie auch die energietechnischen Anlagen kommen nun „in die Jahre” und müssen werterhaltend erneuert werden. In den Jahren 2011-2013 werden rund 1.5 Mio. Franken für die Sanierung der Energietechnik aufgewendet. Zudem wird im Jahr 2011 ein Gehweg zwischen der Gemeindegrenze Worb und den Parkplätzen des Rüttihubelbad erstellt, um die Verkehrssicherheit der Fussgänger:innen zu verbessern. Dafür ist vorgängig ein Landabtausch mit einem Nachbarn vorgenommen worden. Ebenfalls im 2011 wird ein grosser, attraktiver Kinderspielplatz abseits der Strasse errichtet.

Die Stiftung Rüttihubelbad ist in der Lage, diese Grossinvestitionen aus eigenen Mitteln zu finanzieren.

1 Die Informationen zur Geschichte des Rüttihubelbads von 1756-1982 stammen aus folgendem Werk: Bohnenblust, Emil O.: Mit frischem Wind zu neuen Ufern. Separatdruck ca. 1995.

2004 – 2010: Erweiterungen und Umbauten

Im Jahr 2004 wird ein grosser Teil des letzten noch leer stehen Gebäudes – das im Rohbau bestehende, aber nie realisierte Therapiebad – für die Dauerausstellung «Sensorium» eingerichtet.

2008 wird das Restaurant umgebaut, eine freundliche und helle Atmosphäre entsteht. Gleichzeitig wird das Quellwasser so gefasst, dass das Restaurant den Gästen das „Hübeliwasser” anbieten kann.

Im Jahr 2010 wird der letzte, sich im Rohbau befindliche Gebäudeteil für die Erweiterung vom Sensorium und für die Verbesserung der Entsorgungssituationen instand gestellt.

Die wirtschaftliche Situation hat sich so stark verbessert, dass die Hypothekarverschuldung von 22.5 Mio. Franken (1998) auf 9.2 Mio. Franken (2010) vermindert werden kann.

Foto: Daniel Fuchs (Bilderarchiv Rüttihubelbad)

1999 bis heute: Die Stiftung Rüttihubelbad als verlässliche Partnerin

2001 beschliessen die Hypothekargläubiger, ihr Engagement bei der Stiftung Rüttihubelbad zu beenden und schreiben nochmals 6.3 Mio. Franken von ihren Guthaben ab. Die damit verbundene Umfinanzierung führt dazu, dass die Hypotheken seither ausschliesslich von dem Rüttihubelbad nahe stehenden alternativen Banken und Pensionskassen gewährt werden.

Die Stiftung Rüttihubelbad entwickelt ihre Dienstleistungen in einer fachlich anerkannten und geschätzten Qualität. Die Sozialtherapeutische Gemeinschaft wird von der IV und später vom Kanton in grossem Ausmass unterstützt. Sie ist seit 2002 als Behindertenheim mit Wohn- und Beschäftigungsangeboten zertifiziert. Das Alterswohn- und Pflegeheim erhält die kantonale Betriebsbewilligung und viele betagte Menschen nutzen gern auch das komplementärmedizinische und das kulturelle Angebot. Jährlich finden zahlreiche Bildungskurse, kulturelle Anlässe und Ausstellungen statt. Restaurant und Hotel erleben während der Jahre ein Auf und Ab.

Die Stiftung Rüttihubelbad entwickelt sich mit rund 250 Mitarbeitenden zu einer der grössten Arbeitgeberinnen der Region. Der jährliche Umsatz bewegt sich um rund 18 Mio. Franken. Die Stiftung kommt allen finanziellen Verpflichtungen nach und erteilt vielen Handwerkern der Region willkommene Aufträge.

1992 – 1998: Neue Führung erreicht eine Sanierung

Als erste Massnahme werden Stiftungsrat und Geschäftsleitung neu und kompetent besetzt mit der festen Absicht, den Konkurs zu verhindern und das Rüttihubelbad auf eine gesunde finanzielle Grundlage zu stellen. Im Frühjahr 1993 kann der erste Sanierungsschritt mit dem „Handarbeiterabkommen” realisiert werden. Die Handwerker sind bereit, auf die Hälfte der noch offenen Forderungen (6 Mio. Franken) zu verzichten. Die anderen 6 Mio. werden zur einen Hälfte von einer privaten Gönnerin und zur anderen von der Genossenschaft EvK zur Verfügung gestellt. Ende 1993 erfolgt der zweite Sanierungsschritt. Ein Bankenkonsortium und die Berner Versicherung stellen 10 Mio. Franken zur Fertigstellung der Gebäulichkeiten (Behindertenheim, Alterswohn- und Pflegeheim und Restaurant) zur Verfügung, damit die brachliegenden Kapazitäten überhaupt genutzt werden können.

Im Herbst 1994 wird das Sozial- und Kulturwerk mit Restaurant und Hotel eingeweiht. Die Hypothekarbelastung beträgt über 40 Mio. Franken. Zwei Jahre später kann aufgrund der Erfahrungen ein Sanierungsplan für die Verhandlung mit den Kapitalgebern ausgearbeitet werden. Im Januar 1998 erfolgt der dritte und letzte Sanierungsschritt. Die Stiftung bringt – mit Hilfe von zahlreichen privaten Gönnern und Gönnerinnen – neue Eigenmittel von 6 Mio. Franken ein und die Hypothekargläubiger schreiben 10 Mio. Franken ab. Die Genossenschaft EvK löst ihre verzinste Bürgschaft ein und die Hypothekarbelastung sinkt auf 22.5 Mio. Franken. Damit wird die Stiftung finanziell gesund. Die Zinsen für das verbleibende Fremdkapital sowie die betriebswirtschaftlich notwendigen Abschreibungen können von nun an knapp erwirtschaftet werden.

1986 – 1992: Erwerb durch die Stiftung Rüttihubelbad und Finanzprobleme

1986 gründet der gemeinnützige „Verein für ein Alters- und Pflegeheim auf anthroposophischer Grundlage” mit Sitz in Bern die Stiftung Rüttihubelbad. Zweck dieser gemeinnützigen Stiftung ist der Erwerb des Kurhauses Rüttihubelbad und den dazugehörigen landwirtschaftlichen Liegenschaften, um ein gemeinnütziges Alters- und Pflegeheim auf anthroposophischer Grundlage zu errichten und zu betreiben. Die Stiftung erwirbt das Grundstück mit den bestehenden Gebäuden für rund 2 Mio. Franken, welche durch Spenden zusammengekommen sind. Es ist geplant in zwei Bauetappen ein Alters- und Pflegeheim, ein Kulturzentrum mit einem grossen Saal für Konzerte, Theater, Vorträge, Tagungen und Kongresse, ein Restaurant mit einer Pension, einen Laden mit Tea-Room, einen Ausstellungsraum, ein öffentliches Hallenbad mit Therapieräumen, ein Wohnhaus für Mitarbeitende und Menschen mit Unterstützungsbedarf und eine Werkstatt zu bauen. Alle Gebäude sollen unterirdisch miteinander verbunden werden und es soll der Charakter eines „Dörfli” entstehen. Für die Finanzierung werden Bundessubventionen, Bankkredite und vor allem zinsgünstige Darlehen und Spenden aus anthroposophischen Kreisen erwartet. 1987 wird nach dem Abbruch aller bisherigen baufälligen Gebäude mit den Bauarbeiten begonnen. 1991 ziehen die ersten Bewohner:innen mit viel Enthusiasmus in das noch unfertige Altersheim ein.

Zu Beginn der 90er Jahre zeigt sich, dass der Bau nicht wie erhofft finanziert werden kann. Die fehlenden Gelder sowie zwischenmenschliche Probleme und Führungsschwierigkeiten führen dazu, dass die beteiligten Banken 1992 einen Bau- und Zahlungstopp verfügen. 60 Mio. Franken sind bisher verbaut worden, davon sind 12 Mio. noch nicht bezahlt. Von den geplanten Kapazitäten sind erst 20% für die Nutzung fertig gestellt. Es droht der Konkurs.

Foto: Hansueli Trachsel
Foto: Hansueli Trachsel

1756 – 1834: Kampf für ein Badewirtschaftsrecht

Ab 1834 entwickelt sich das Rüttihubelbad sehr schnell zu einem beliebten und vielbesuchten Kurbad. Schon ungefähr Mitte des 19. Jahrhunderts besteht es aus zwei Gebäuden mit insgesamt 45 Zimmern für ungefähr 60 Kurgäste. Es gibt zehn Badestuben, in denen sich je zwei Wannen befinden. Später werden die alten Gebäude ausgebaut und neue Nebengebäude erstellt. Ende des 19. Jahrhunderts zählt das Rüttihubelbad 95 Zimmer. Jeden Dienstag und Samstag holt der „Badomnibus” die Kurgäste in Bern ab. So wird ihnen die beschwerliche Anreise erleichtert.

Kolorierte Zeichnung von P. Schöne-Henzi (Bilderarchiv Rüttihubelbad)

Gemäss einer 1899 erschienenen Schrift herrscht auf dem Rüttihubel, im Gegensatz zu anderen, luxuriösen Badeorten, „häusliche Behaglichkeit”. Die Einrichtungen sind einfach, aber bequem und entsprechen ihrem Zweck und den hygienischen Ansprüchen. Das Landleben und der ungezwungene Umgangston werden als angenehm empfunden. Die „erdig-salinische Eisenquelle von beachtlicher Heilkraft” hilft im Laufe der Jahrzehnte vielen Kurgästen.

Noch Mitte des 20. Jahrhunderts kehren Gäste im Rüttihubelbad ein um die üppige, reichhaltige Bernerplatte mit der traditionellen „Merängge” zu geniessen. Doch dann wird es langsam still ums Rüttihubelbad. Über die Jahre machen sich Spinnweben breit und überall setzt sich Staub an. 1982 geht die Rüttihubelbad AG der Familie Schüpbach Konkurs.

1756 – 1834: Kampf für ein Badewirtschaftsrecht

Im Jahr 1756 errichtet die Familie Schüpbach auf dem Rüttihubel ein Bauernhaus. 1779 bekommt Peter Schüpbach die Bewilligung zur Bewässerung seines Landes eine Quelle zu erschliessen. Die Bedingung ist, dass er alles nicht benötigte Wasser als Tränke für die Kühe auf der Weide, in einen Brunnen leitet. Während den Arbeiten an der Quelle stellt Peter Schüpbach fest, dass es sich um eine Mineralquelle handelt. Noch im selben Jahr stellt er in einer einfachen Hütte einige Badewannen auf. Viele Menschen aus der Landbevölkerung reisen daraufhin zum Kur-Baden auf den Rüttihubel. Als der Herrschaftsherr von Worb, Johann Heinrich Rychiner, dies vernimmt, lässt er die Hütte niederreissen und die Badewannen zerstören.

Doch Peter Schüpbach gibt nicht auf. 1784 baut er im Keller seines Speichers sechs Badewannen und einen Kessel, um das Wasser zu wärmen. Wieder erhält er viel Besuch von Gästen. Am 10. August 1784 verbietet die Obrigkeit (gestützt auf das Gesuch vom Herrschaftsherrn von Worb und den Bericht des Sanitätsrates) die Errichtung eines Bades auf dem Rüttihubel. Sowohl 1786 als auch 1808 wird dieser Entscheid bestätigt. Trotzdem ist aus verschiedenen Quellen zu entnehmen, dass in den 20er Jahren des 19. Jahrhunderts auf dem Rüttihubel „von der ärmeren Classe” gebadet worden ist. Erst am 12. April 1834 erhalten Peter Schüpbach und seine Söhne ein Badewirtschaftsrecht, jeweils beschränkt auf die Zeit vom 1. Mai bis 1. Oktober.